Cahier n° 30
23 novembre 1931
Influencé par les observations d'hier de Paul Vitry, du moins par ce que j'ai cru deviner, cherché à diminuer un peu la hauteur de La France[1]. Erreur. Je ne regrette pas ce petit faux temps, je suis sûr de ma proportion[2] maintenant. C’est presque fini. Une a deux journées encore et je fais mouler. Quel soulagement. Quel mal m’a donné cette figure. Je la crois bien. Elle aura exactement 8 têtes ¾. À l’échelle actuelle, pour certains, la tête paraît un peu petite, comme Paul Vitry. À sa taille, ce sera parfaitement juste.
Visite de Jules Adler qui m’a paru sincèrement emballé.
Comité des 90, occupé entièrement par la question du groupe des Tuileries. Arrivé à temps j’ai pu entendre tout l’exposé de Chabas. Je ne reviens pas sur l’attitude des collègues, confrères, ni sur l’action de Herriot. Je n’ai pas de chance avec Herriot. C’est un homme que j’admire, qui a des qualités de puissance, qu’on désire aimer. Voilà le troisième cas où, dans ma partie, je le vois agir légèrement. Il y a le cas des architectes introduits à l’École des b[eau]x-a[rts]. Il y a le cas du mariage des pensionnaires de Rome. Voici maintenant celui du Salon des Tuileries. Autant de décisions dont les conséquences sont néfastes. Paul Chabas nous disait que Paul Léon avait été on ne peux plus amical en la circonstance. Mais Petsche, disait Herriot, foireux, décidé à lui accorder tout ce qu’il demanderait.
24 [novembre 1931]
La France se termine. Je lui ai redonné sa longueur. Cette figure a neuf têtes de proportion. Je ne suis pas d’avis qu'elle paraît trop longue[3]. Grandie elle sera très juste. Tenir toujours compte de cette impression que plus une statue est grandie, plus la tête paraît proportionnellement grosse. Une statue de 2 m ayant 8 têtes de proportion devra en compter 9 si elle est doublée, pour donner la même impression. Ce principe ne m’a jamais donné de déboires. À Chalmont tout mon travail a consisté à allonger les bonshommes par la base pour avoir la même impression que sur le modèle doublé. Content de la base de la statue, l’arrangement de la draperie que je soigne comme un sculpteur gothique[4].
Visite de Billard et Pommier, avec les électriciens pour leurs fontaines. L’arrangement des vasques semble enfin définitif. D’ailleurs ça va bien en effet, maintenant. Il va falloir se mettre maintenant à fond à ce travail, suffisant à lui seul pour occuper toute mon activité pendant des mois. Et tout ce que j’ai à faire en même temps! On fera tout. On se donnera du mal pour tout. Et on terminera le Cantique. Et on attaquera Prométhée.
Rendez-vous avec le général Dubail pour sa médaille. Cette chancellerie de la Légion d’honneur me fait toujours penser à une sacristie. Mon futur modèle n’est pas bien emballant à première vue. L’ossature[5] est assez vigoureuse, mais le visage est peu expressif.
— Il y a cette chose à laquelle nous tenons beaucoup ici, c’est le képi, m’a-t-on dit.
C’est tout dire.
Après, passé une heure bien intéressante avec le jeune directeur de la galerie Charpentier. Il voulait me parler d’une exposition dans ses salles, de moi tout seul. À voir pour dans deux ou trois ans. Ces salles sont en ce moment occupées par une exposition de Jouve. Bien, quoique systématique. L’intérêt tient beaucoup au caractère des modèles, types du sud du Niger, magnifiques, élancés, racés de manière extraordinaire. De très bons petits croquis à la plume. En haut je rencontre la charmante Andrée Corthis[6], toujours vibrante, allante[7]. Elle venait organiser une exposition rétrospective de l’Académie Julian. En visitant l’appartement je comparais à l’autre collection, celle des Bernheim. Il y a des pièces de qualité, mais il y a un monde entre les deux, tout à l’avantage de celle de Charpentier. Il est vrai qu’il a des œuvres qui au Louvre ou dans n’importe quel grand musée seraient parmi les plus belles. Il y a un Hubert Robert, pas très grand, d’une originalité, d’une gaieté, d’un esprit et d’une qualité picturale extraordinaire. Un grand Portrait de famille d’un hollandais, d’ensemble un peu rébarbatif, mais avec des morceaux de premier ordre. Mais surtout il y a un portrait de Chardin, Madame Geoffrin qui est une des plus belles toiles que je connaisse. C’est un grand portrait, presque en pied. Comment expliquer que si j’avais vu[8] cette sympathique grosse dame, assise ainsi devant sa table à thé, les deux mains un peu grasses sortant de ses manches de dentelles, posées sur une soie rouge, je n’aurai eu guère d’émotion, peut-être aurais-je été frappé, comme cela m’arrive souvent, par de jolies harmonies et aurais-je pensé que ce serait intéressant à peindre, tandis que j’ai eu un véritable choc, une grande[9] émotion rien qu’à regarder ces deux mains potelées[10] sur cette soie rouge. C’est tout le mystère de l’œuvre d’art. L’artiste a su donner toute leur valeur[11] à la vie des couleurs qui deviennent des entités[12] se mettant en valeur de manière bien plus émouvante sur la toile que dans la nature. Sur la toile, l’objet n’existe plus. Il n’est qu’apparence[13]. Sa couleur devient sa seule réalité. Et pour arriver à ce but, Chardin n‘a pas eu besoin de mal dessiner, de rien négliger, de rien enlaidir. Nous touchons là au fond du problème de la peinture d’aujourd’hui. Le remarquable petit nu de Boucher complète cette démonstration. C’est le nu célèbre représentant le petit modèle de Boucher, à plat ventre sur un canapé, dans des étoffes roses et dorées, petit modèle qui eut les honneurs du parc aux cerfs et fut la maîtresse de Louis XV pendant un temps. J’ai rarement vu peinture plus lumineuse, plus impressionniste, et celle là on peut la regarder de près comme de loin. Une véritable lumière en sort; de près on ne cesse d’y découvrir des beautés. Il y a là une technique, une science incomparable. Cela semble peint du coup. C’est reflété comme le Besnard le plus cherché. Ce sont certainement les impressionnistes, qui peu à peu ont conduit la peinture à l’oubli de la technique. Ce petit nu de Boucher se trouve dans une petite pièce où sont d’autres belles choses, un Vigée-Lebrun, un Perronneau, mais qu’il éteint. Plus amusant est de comparer, si l’on veut, ce nu adorable avec un autre, signé Rubens, bien peint mais si vulgaire. Une espèce de grosse matrone qu’un vieux moine découvre. Ils sont aussi laids l’un que l’autre. À vous dégoûter de l’amour. Mais voici tout à coup une toute nouvelle note. On est surpris. C’est un Goya. Un portrait de femme coiffée de plumes, de tissus, d’oripeaux si extraordinaires qu’elle a l’air d’une folle. C’est bien, mais ne discerne-t-on pas déjà des commencements de décadence dans la façon dont sont peints les bras, par exemple? Le mal vient de loin. Mais quel caractère, quelle audace.
Dîner chez Ladis, avec les Bouglé, les Meunier, très heureux de son élection, les Grimpret. C’est un homme remarquable Grimpret. Il est au courant de bien des choses. Il craint que nous n’allions à une situation pire. Il est [peut-être] fort inquiet et s’étonnait à juste titre du rôle qu’assume l'État en renflouant des affaires en perdition. La c[ompagn]ie Transatlantique a reçu plus d’un milliard, la B.N.C, plus de trois milliards. Flandin a prêté à la Hongrie et à l’Autriche sans consulter les Chambres[14]. Initiatives très dangereuses.
25 [novembre 1931]
Visite de Bigot, heureux de son élection prochaine. Il a aimé la France[15]. Il la trouve trop mouvementée. Je crois qu’il a tort.
Visite de Besançon pour m[onumen]t Widal.
Lettre de M. Charles Prince. Je crois que nous allons enfin aboutir. Ce ne sera pas trop tôt. Cinq ans que cette histoire traîne!
Bigot me disait que lors de sa visite à Besnard[16] celui-ci lui a paru assez diminué. Il faisait semblant, sûrement. Il s’est fait répéter plusieurs fois par Bigot son nom. Il lui a demandé si Bouchard était de l’Institut... Si j’en étais? Bref, il a fait l’idiot. Il voulait en même temps insinuer que je ne devrais pas être de l’Institut.
26 [novembre 1931]
La France virtuellement terminée. Je crois qu’elle a une échelle excellente[17]. Quel dommage que le groupe ne soit pas plus grand. Il faudrait qu’il soit le double de la statue de la France.
Lily revient des premières séances des congrès de la Paix. (Organisation Louise Weiss). Il paraît que Painlevé arrivé comme toujours très en retard, a fait une intervention grotesque, qui a produit le plus déplorable effet, violent, nationaliste, presque agressif, au point qu’on lui criait : "À la salle Wagram!" par allusion à un meeting nationaliste organisé pour demain à cette salle.
27 [novembre 1931]
Achèvement du buste du docteur Widal. Moulage demain. Je fais commencer la pierre.
La France est finie. Je ne peux pourtant me décider à la faire mouler. Il y a encore quelque chose à trouver. C’est un rien, mais un rien essentiel. Reposons-nous en quelques jours.
28 [novembre 1931]
Hier soir, au congrès de la Paix organisé par Louise Weiss. Présidé par Herriot. Avec Painlevé, Jouvenel, les ambassadeurs étrangers (Allemagne, Amérique, Espagne, etc.). La salle du Trocadéro se remplissait, était bientôt comble. Je m’en réjouissais. Dès l’allocution d’ouverture de Herriot des incidents surgirent, un peu incompréhensibles d’abord et qui finalement apparaissent comme causés par d’énormes phares pour le cinéma et qui aveuglaient tout le monde. En fait ces protestations contre les phares étaient les préliminaires d’une obstruction organisée qui se manifesta d’abord timidement, puis, devant l’inexistence absolue de tout service d’ordre, empêcha tous les orateurs de parler et d’être entendus. Il n’y avait aucun agent. Le public houspilla et sortit quelques perturbateurs, mais ceux-ci un moment maîtrisés se glissèrent de plus en plus nombreux, si bien que la séance se conclut comme la plus grossière des réunions publiques. Les ambassadeurs des États-Unis, Lord Cecil, [Scialoggia] ambassadeur d’Espagne, etc., tous furent injuriés. La tribune fut même escaladée. Herriot peut être heureux d’avoir fait rentrer Léon Daudet! J’oubliais de noter le succès de Painlevé qui fut le seul applaudi par cette bande et qu’elle laissa parler. Son discours fut d’une lamentable banalité, allant jusqu’à dire que, économiquement les armements étaient nécessaires. La suite du raisonnement s’enchaîne et doit conclure que la guerre l’est également! Jouvenel apparu sur le tard essaya de tenir tête. Lui et l’espagnol furent excellents et courageux. Mais ce fut à la fois lamentable et comique. Beaucoup de personnalités étrangères ont quitté Paris immédiatement et la France en cette soirée s’est faite une parfaite réputation d’impérialisme et de grossièreté. Il paraît que la grosse Louise Weiss n’avait pensé qu’à vendre ses billets. Elle regrettait de ne pas les avoir mis plus chers! Quand une personne venait et achetait quarante à cinquante billets à la fois elle ne s’en étonnait pas. Elle se pâmait. Il paraît [18] que la police lui avait promis un service d’ordre bien organisé et que Chiappe l’a nettement trompée. Cela est très possible. Mais ce n’est pas à la police qu’il fallait confier ce soin, mais à ces organisations de jeunesse, à la C.G.T., aux anciens combattants pacifistes, etc. Ceux ci prévenus auraient vite réglé leur compte à ces imbéciles. Dès qu’on leur disait énergiquement de se taire, ils se taisaient, se défendaient comme des gamins d’avoir rien dit. Ceux qui insistaient et qu’on houspillait se battaient mal et fichaient le camp.
Après ma correction à l'École et chez Julian, passé chez S[ain]t-Andréa pour les clichés du livre d’Ysay. Je crois vraiment qu’en fin de compte ça fera un ensemble intéressant[19]. C’est angoissant cette sorte de rétrospective en images. J’ai indiqué les épreuves à revoir et renforcer. J’espère recevoir à temps les photographies demandées à Olivier Bellaigue du mon[umen]t de Casablanca pour remplacer celle de la maquette.
Élection de l’ami Bigot. Au second tour, comme je le lui avais annoncé.
Longue conversation avec P[aul] Chabas à propos du Salon des Tuileries et de la tentative faite par cette bande pour[20] s’emparer d’une partie de nos emplacements concédés et exposer absolument aux mêmes dates que nous. Chabas a indiqué dans le procès-verbal de notre dernier comité la protestation "contre le procédé d’artistes qui s’abritent derrière une haute autorité politique pour parvenir à leurs desseins dirigés contre leurs confrères". C’est à peu près le texte qui a été remis au sous-secrétariat des B[eaux]-A[rts].
On commence à penser à l’Institut à l'élection de peinture. Maurice Denis qui semblait avoir beaucoup de chances en a un peu moins à cause de cette histoire des Tuileries, dont il fait partie. On cherche un candidat à lui opposer, situation bien ennuyeuse. M[aurice] Denis a un vrai[21] talent, malgré bien des lacunes (son impuissance[22] absolue à construire une figure[23], la faiblesse de sa peinture). Ses toiles sont plus du coloriage que de la peinture. Ses qualités sont surtout[24] dans un sens décoratif[25], un joli goût de composition, et une palette très lumineuse. C’est le type le plus parfait du peintre "moderne", dans cette époque où il n'y a plus guère de peintres complets. Chacun cherche sa petite note, tâche à découvrir en soi la qualité qui lui est la plus naturelle, et ne va plus loin, ne cherche pas a allez plus loin. C’est la conséquence de l’impressionnisme, de l’habitude du travail en plein air, ou il faut aller vite, ou il faut presque enlever son affaire du coup. L’émotion directe[26] donne en effet une saveur inégalée à ces études. Elles ne valent que par cette émotion tremblée. Ainsi en est-on venu à la non recherche absolue de la toile menée jusqu’au bout. On a dit, et c’est peut-être vrai que le cubisme était la réaction contre l’impressionnisme. Le troublant est que beaucoup de cubistes étaient d’anciens impressionnistes. Ce mouvement qui n’est devenu un peu important qu’à cause de la critique[27] qui vantera tour à tour avec la même ardeur les tendances les plus contradictoires à condition qu’on lui assure qu’il s’agit de tendances "modernes". Ce mouvement ne pouvait rien donner parce que trop littéraire dans son principe, et peut-être surtout parce que ses chefs de file étaient des ignorants, ne connaissaient rien à leur métier. La technique est d’une importance essentielle. Aussi bien n’ai-je qu’à penser à ce petit nu de Boucher vu l’autre jour chez Charpentier, plus impressionniste que le Gauguin ou le Cézanne le plus réussi et d’une si complète, si parfaite exécution.
29 [novembre 1931]
Hier soir, chez Marc Sangnier, bien sympathique à connaître et qui a organisé ces groupements de "la jeune république", dont les membres sont comme de jeunes apôtres de l’idée de paix, de justice internationale. On y commentait les événements de la veille. J’essaye d’en parler à Brunschvicg, mais il m’a paru assez ondoyant, il est parti avant la fin et en somme ne semblait pas très fier. Borel furieux. La princesse Cantacuzène disait que l’étranger serait de plus en plus persuadé de l’impérialisme de la France. Titulesco racontait à Ladislas que c’est exprès que les perturbateurs avaient été laissés libres d’agir, Laval ayant été très heureux de jouer ce tour à Jouvenel[28]. Aux Affaires étrangères on est furieux contre Louise Weiss. Celle-ci ne se considère pas comme coupable de la moindre négligence. Chiappe l’a gentiment trahie, l’ayant assurée qu’il organiserait un sévère service d’ordre. Elle continue à regretter de n’avoir pas mis ses billets à 100 F au lieu de 5! Jacques disait à Nadine[29] que la C.G.T. et les combattants pacifistes et autres groupements allaient organiser un immense mouvement de protestation et un meeting très prochainement.
Bouchard venu voir La France[30]. Je crois qu’il l’a trouvée bien. Il m’a donné de bons conseils pour la draperie qu’il a trouvé creuse vers le bas. M’a conseillé de ne pas donner à la chevelure ce mouvement de côté. Un beau plan droit, bien perpendiculaire ferait mieux. Il a probablement raison.
30 [novembre 1931]
Exécuté les corrections de l’ami Bouchard. Bien. Je travaillerai encore cette semaine à cette figure. Le bras droit qui tombe.
Commencé la médaille du général Dubail. Sa conversation est un peu vide. Il est plus intéressant cependant que je ne croyais après la première entrevue. Il s’était mis en grande tenue, toutes ses décorations. Le grand cordon, gants blancs, etc. Je peux sourire au fond de moi. Je constate l’importance de cette médaille. Il a d’ailleurs un visage bien construit, puissant, œil petit, mâchoires fortes, le front serré, Le nez, l’attache du nez sont d’un très beau dessin. Il a dû être un bel officier. Il laisse pousser fort longs les cheveux de son occiput[31] qui sont ramenés en avant, arrangés, taillés, peignés, brossés, cosmétiqués de telle façon qu’il faut bien regarder pour s’apercevoir de la tricherie. Faiblesse humaine, que je comprends. Je regrette les belles mèches de ma jeunesse et c’est avec peine que je vois diminuer celles qui me restent. Heureux qui sait vieillir. Cette chevelure est certainement la raison de l’insistance avec laquelle on me demande de le représenter en képi. J’ai suggéré[32] ce matin le casque et la tenue de campagne.
Terminé la coupe de ski de M. Montefiore.
J’aurais préféré que la main droite de ma France tombât ouverte et non le poing fermé, le granit m’y oblige. Cela donne une attitude menaçante vulgaire. La main tombant avec souplesse ajouterait à cette impression[33] que je cherche d’une force irrésistible qui avance invincible parce que plus morale que matérielle. Il faut y arriver.
[1] Les Fantômes.
[2] . Au lieu de : "mon affaire", raturé.
[3] . Au lieu de : "grande", raturé.
[4] . Au lieu de : "comme faisaient les gothiques", raturé.
[5] . Suivi par : "du visage", raturé.
[6] . Orthographié Cortis, dans le manuscrit.
[7] . Suivi par : "M. Charpentier", raturé.
[8] . Suivi par : "et je vois certainement souvent", raturé.
[9] . Au lieu de : "véritable", raturé.
[10] . Au lieu de : "grasses", raturé.
[11] . Suivi par : "aux harmonies", raturé.
[12] . Au lieu de : "personnalités", raturé.
[13] . Au lieu de : "Son apparence ne vaut que par le talent", raturé.
[14] . Suivi par : "Situation", raturé.
[15] Les Fantômes.
[16] Philippe Basnard.
[17] . Au lieu de : "magnifique", raturé.
[18] . Au lieu de : "Elle prétend, paraît-il", raturé.
[19] . Suivi par : "Rien de si inquiétant que cette", raturé.
[20] . Suivi par : "réduire", raturé.
[21] . Au lieu de : "certain", raturé.
[22] . Au lieu de : "incapa...", raturé.
[23] . Au lieu de : "une tête", raturé.
[24] . Au lieu de : "Sa seul qualité est surtout", raturé.
[25] . Suivi par : "certain", raturé.
[26] . Suivi par : "ainsi transmi...", raturé.
[27] . Au lieu de : "presse", raturé.
[28] . Suivi par : "Il parait qu'aux", raturé.
[29] Jacques Chabannes et Nadine Landowski.
[30] Les Fantômes.
[31] . Suivi par : "et tout cela est", raturé.
[32] . Au lieu de : "J'ai proposé", raturé.
[33] . Suivi par : "immatérielle", raturé.