Juillet-1919

Cahier n°6

1 juillet [1919]

Vu Bouchard qui est furieux que nous ne fassions rien pour le 14 juillet. Je le calme. Ses idées sont d'ailleurs bien contradictoires. Revenant de Metz où il avait exécuté son poilu dans des conditions trop rapides il m'avait dit qu'il ne recommencerait plus une affaire pareille, que c'était "un truc à se crever".

En attendant, je perds bien du temps.

3 juillet [1919]

Visite de Madame Buisson. Sans aucun intérêt. Je note seulement la gentillesse de Mme Grimpret qui m'a amené Mme Buisson, car elle la prend au sérieux et croyait me faire faire en elle une très utile et intéressante connaissance.

5 juillet [1919]

Avec l'ami Bigot, rendus dans la cour de l'Hôtel-Dieu, pour le Monument aux Morts de l'Internat[1]. En plan, l'emplacement est bien choisi. En fait il l'est mal. Car il est trop sur un passage et de plus sera très mal éclairé. L'état d'esprit des architectes m'est d'ailleurs de plus en plus incompréhensible. Cette façon de tout composer en des petits croquis rapides, puis de considérer cela comme définitif, me suffoquera toujours. Après ça, débrouilles-toi, sculpteur.

Déjeuner avec Bouglé, à son cercle de la rue de Poitiers.

6 juillet [1919]

M. Bartholomé est venu à mon atelier.

J'avais été le voir pour lui demander de présider le groupe nouveau que fonde Georges Petit et qui doit exposer en janvier. Il me refusa, se disant très attaché à la Société nationale et ne vouloir exposer nulle part ailleurs. Je l'envie d'être dans un milieu où il se plaît tant. Il n'en est pas de même dans notre Société des Artistes français où règne avant tout l'envie.

Mais il a accepté avec grande bienveillance de venir à mon atelier, voir mon groupe des Morts. Je l'aime beaucoup Bartholomé. C'est un beau vieillard, très alerte, malgré ses soixante dix ans. Le visage est très coloré, la belle barbe bien blanche. L'œil est étonnamment vif. Sa conversation vivante est parfois assez agressive. Celui-là au moins ne dégage pas cette saumâtre impression de médiocrité qui caractérise tous les membres actuels, sans en excepter un, de la section de sculpture de l'Institut.

Il y avait aujourd'hui chez moi le père de Lily qui était content de voir Bartholomé. Son bagage n'est pas très important. Mais son Monument aux Morts est une page dans l'histoire de l'Art de notre époque. D'aucuns parmi les artistes surtout, traitent Bartholomé d'amateur. C'est un mot avec lequel, à notre époque, des confrères envieux ont essayé et parfois réussi à briser l'essor d'hommes de valeur. Puvis de Chavannes, Gustave Moreau, d'autres souffrirent de cette hypocrite manière d'affecter de ne pas prendre au sérieux leur effort. Whistler connu ce genre d'appréciation et Jacques Blanche également. Il y a chez les artistes un mélange d'idéalisme et d'envie des plus curieux. La plus grosse majorité, surtout dans le monde des sculpteurs sortent de milieux pauvres. Tout homme qui possède quelque petit moyen de vivre est déclaré [2] par eux millionnaire et on le classe parmi les amateurs.

Ainsi Allard, le vieil Allard, dont personne ne connaît ses œuvres même durant son vivant, osait me dire en me parlant d'une candidature de Bartholomé à l'Institut :

— Il irait à un échec. C'est un amateur.

Pauvre Allard ! J'ai vu les deux ateliers. Je ne puis dire que tout ce qui est chez Bartholomé me plaise. Il vit un peu trop sur son Monument aux Morts. Certaines petites choses, comme la jeune fille se coiffant, la femme à la toilette sont délicieuses. Le Monument à J[ean]-Jacques Rousseau est mauvais. On n'y trouve même plus cette vision simplifiée de la forme, vision sincère, simplification obtenue en quelque sorte naïvement, presque par maladresse et qui fait penser à la fois à certains bas-reliefs archaïques grecs (le siège de la villa Ludovisi) et à des fresques de Giotto. Le Monument, en cours d'exécution, de la Défense de Paris est très mauvais. Cette femme drapée à l'Antique, sans aucune science, coiffée du casque de poilu, tenant dans ses mains un glaive est du plus mauvais goût, ne dit rien, n'exprime rien. C'est du "bourrage de crâne" encore. C'est très malheureux. Mais à côté, que de choses délicieuses : une petite fontaine d'angle en cipolin qui a une inestimable valeur de goût et d'art. Des arrangements heureux de figures de pleureuses.

Je pense à Allard tout à coup. Je le revois dans son grand atelier encombré d'immenses figures décoratives dignes d'entreprises de décoration pour maison à loyer et sculpture en groupe : "chassé de l'Éden" pour éditeur de bronze du Marais. Monsieur Allard, je ne sais même pas si vous pourriez travailler comme ouvrier chez Bartholomé. Vous avez de trop mauvaises habitudes.

Mon groupe des Morts m'a paru lui plaire, mais surtout il a été très emballé par la grande esquisse Wilbur Wright.

Mon beau-père essaya de le faire parler de son Monument aux Avocats qui doit être élevé dans la salle des Pas Perdus. Assez vertement Bartholomé lui laisse entendre de ne pas l'embêter, le presser ou l'empêcher de faire ce qu'il veut, il enverra tout promener. Il ne doit pas être tous les jours commode Bartholomé. Il sait ce qu'il veut. Il comprend son métier d'artiste avec une grande dignité. Il ne fera pas les Dieux comme Rodin, ni les demi-Dieux comme Bourdelle, ni les quarts de Dieux comme Despiau. C'est un vrai artiste.

7 [juillet 1919]

Perdu mon après-midi à faire avec Levard une tournée chez les sculpteurs travaillant aux bas-reliefs pour les fêtes de la Victoire. Quelle médiocrité !

9 [juillet 1919]

Avec Joseph [3] nous avons été revoir le premier combat de Carpentier depuis la guerre. Ce spectacle des combats de boxe m'a de nouveau enthousiasmé. C'est le seul sport avec la course à pied, qui nous rappelle la beauté de la vie antique. Un artiste, un sculpteur doit aimer la boxe, comme un amateur de chevaux doit aimer les courses. La boxe, plus même que la course à pied demande un entraînement parfait, complet. Carpentier qui est le type parfait du pugiliste est certainement un des plus beaux spécimen d'animal humain qui soit. Il n'a guère changé depuis cinq ans. Je suis allé le voir dans sa loge après son combat. Il a été content de me revoir :

— Nous finirons notre statue, m'a-t-il dit.

Je suis étonné de retrouver-là, dans sa loge, le soignant, le docteur Faidherbe que j'avais rencontré pendant la guerre.

10 [juillet 1919]

Dîner chez nos amis Lafont. Il y a là Tseretelli, le révolutionnaire russe, l'homme du ministère Kerenski. C'est un homme jeune, a-t-il seulement quarante ans ? Dans un visage rond, un peu enfantin, des yeux noirs aigus. Sa pose historique, celle dans laquelle il voudrait passer à la postérité est : la tête baissée, le front en avant, l'œil regardant au loin, des profondeurs de l'arcade sourcilières. Terrible situation que d'être un personnage historique. Cela vous fait poser d'une manière un peu sotte, comme ce soir-là, ou cela vous fait envoyer chaque jour à la mort un certain nombre de malheureux qui ne sont pas de votre avis.

14 [juillet 1919]

Avec Seguin, je suis parti hier matin [4] voir le catafalque que Süe et Mare et Jaulmes ont composé pour mettre sous l'Arc de Triomphe et que Sartorio exécute en compagnie d'une trentaine de camarades. J'en connaissais les dessins, et pour cause. Et de loin, depuis plusieurs jours j'en voyais la carcasse boucher la grande voûte de l'Arc. Pour en avoir l'impression fraîche, je ne m'en étais pas approché.

Nous y arrivons par l'avenue Kléber. Seguin est enchanté. Ce sont ses hommes. Certains assurent qu'il est directement intéressé à la réussite de ces gens-là. Pour moi, pour le moment, je n'ai aucune impression. Je trouve illogique de mettre cette énorme masse sous cette voûte faite pour qu'on passe dessous. La masse d'ensemble est-elle bonne ? Je n'en sais rien. De loin, cette silhouette, comme toute silhouette architecturale, n'a guère d'intérêt. C'est de près d'ailleurs qu'une œuvre doit être jugée, pour l'émotion qui s'en dégage, pour les trouvailles de sentiments d'abord, et le goût de l'ingéniosité de l'arrangement ensuite.

Au pied de l'Arc de Triomphe, c'est la fièvre, l'agitation. Des monteurs achèvent de fixer les derniers morceaux, tandis que les doreurs s'empressent de dorer les pièces à peine posées. Sur la face, celle qui regarde les Champs-Élysées, l'échafaudage est déjà enlevé. On peut voir et juger. Je me recule, je me mets dans la foule. L'exécution ne me donne pas plus de satisfaction que le croquis que j'avais vu.

Ce qui m'a toujours frappé chez ces artistes des Salons avancés, c'est la banalité de leur conception dès qu'ils essaient d'aller jusqu'au bout d'une de leurs compositions. Banalité et trouvailles enfantines. Banalité dans la conception générale. Innovation enfantine dans le détail.

Le morceau principal est la figure[5] de Victoire qui se répète sur les quatre faces. C'est, rigoureusement copié, la figure de la Patrie que Cognart composa pour le tombeau célèbre du Père-Lachaise. Ce tombeau date de plus de cinquante années. Il est considéré, dans le monde des architectes, comme un grand chef-d'œuvre. Le geste de la femme est d'ailleurs celui de presque toutes les Victoires qui ornaient les candélabres du Premier Empire. Donc, sur le catafalque, une Victoire semblable, mais grossièrement exécutée, tient dans chacune de ses mains une palme. Il ne faut pas trop critiquer l'exécution, cela a été exécuté dans un temps si court. Mais le goût de tout cela ! Car voilà la trouvaille. Cette Victoire est ailée. Et c'est là qu'est la trouvaille, la trouvaille géniale. Elle s'orne d'aile d'aéroplane ! Les angles du catafalque sont formés de faisceaux de lances. Des sortes de guirlandes Louis XVI terminent chaque face, et enfin, un immense brûle feu formé d'une torpille d'avion coupée en deux, couronne le tout. Cela fait un brûle feu pas mauvais. Mais là il y a un manque de liaison. Je ne sais lequel. Le brûle feu est mal posé. La base est la base de tous les catafalques des projets des élèves de seconde classe à l'École des beaux-arts. Une grande inscription : "Aux Morts". Et à droite et à gauche des bas-reliefs "décoratifs" formés de trophées, casques allemands[6], armes diverses, etc. Je pense à l'émotion qui aurait pu se dégager de ces bas-reliefs, si, au lieu de motifs ornementaux, on y avait évoqué des scènes vivantes de la vie des soldats, la boue, le froid, la veillée, etc.

Ce catafalque a à mes yeux un intérêt immense. Il est la preuve évidente et flagrante de la faiblesse de ces gens-là, dont leur art n'est fait que d'apparence. L'émotion n'est obtenue que par des moyens accessoires, soit par la masse, soit par des effets théâtraux, comme ce fut ce soir, lorsque les feux de Bengale brûlaient tout autour. Pour moi, la preuve est faite que ces gens-là n'apportent rien. Ce catafalque n'est que la réalisation d'un projet très quelconque d'un concours d'esquisses à l'École des beaux-arts. Il n'a aucune émotion. Il n'y a pas là une idée neuve. À certains points de vue peut-être est-ce consolant pour l'éducation classique de penser que ces gens-là, étant parvenus à se faire commander une chose de cette importance, n'ont rien pu trouver de mieux qu'un projet d'École. Consolant ? Non. Puisque ce projet est sans émotion. Le peuple y vient en foule parce qu'il est écrit : "À nos Morts". Dressez n'importe où une pierre quelconque. Écrivez dessus ces trois mots. Et les femmes y viendront pleurer et y apporter des fleurs ! Non, décidément cela n'a rien de consolant. Il est navrant au contraire de constater qu'à force d'argent, par une campagne de presse qui dure depuis des années déjà, on arrive à faire passer l'art dit décoratif avant l'art d'émotion, que le gouvernement a fini par se laisser influencer et que nous marchons maintenant vers l'art industriel ou plutôt vers l'art industrialisé, ce qui n'est pas la même chose. C'est aujourd'hui le grand mot à la mode : "l'Art décoratif [7]". Nous allons vers un temps où l'on aura plus de considération pour un monsieur qui met un vernis sur un pot auquel le hasard de la cuisson donne une réussite heureuse de tons, que pour l'homme qui pendant des années et des années aura étudié et travaillé et aura mis des mois à faire de ses mains une belle statue. Question à étudier un jour à fond.

Nous avons essayé dans la soirée d'hier, avec le père de Lily, de nous approcher du catafalque. Une foule immense nous portait. Dès Champs-Élysées on voyait sous l'Arc de Triomphe des feux, des fumées. Je pensais au culte de Baal. De cette cérémonie on avait fait quelque chose de terriblement théâtral. Mais nous ne pûmes arriver au but. Au niveau de l'avenue de l'Alma, nous nous sommes heurtés à des barrages. Puis le passage de cortèges officiels qui allait en voiture et en auto porter des fleurs au cénotaphe nous refoulèrent dans l'avenue. Nous avons essayé alors de nous approcher en tournant. Nous avons pu arriver assez près mais pour arriver tout près, il aurait fallu nous mettre dans une queue immense. Nous nous sommes contentés de regarder de loin.

Le spectacle, comme tout spectacle théâtral était très curieux. Sous les immenses voûtes de l'Arc de Triomphe des feux de Bengale brûlaient aux quatre coins. Les fumées s'envolaient, s'accrochant aux dorures du cénotaphe. La foule se pressait en extraordinaires ombres chinoises. Dans la nuit, comme on ne distinguait pas les costumes, on croyait réellement assister à quelques extraordinaires cérémonies religieuses du passé. Autour de moi, des femmes, chargées de fleurs, attendaient leur tour, s'apprêtaient à se faire écrasées [8] dans cette cohue. C'était un extraordinaire mouvement. Voilà l'extérieur. Le fond. Un décor en staff doré sur une charpente vide, composée par des farceurs et exécutée par une bande de gars qui n'avaient pensé, durant leur travail, qu'au prix de leur journée, pour la plupart, et les principaux surtout à faire parler d'eux. J'aime autant pour ma part, ne m'être pas mêlé en nom, de cette entreprise.

 

 

Nous avons couché rue de l'Université. Le matin, de très bonne heure, nous sommes partis. J'ai accompagné Lily au ministère de la Marine et suis parti pour les Champs-Élysées. Grâce à ma carte de circulation je passe assez facilement les innombrables barrages de troupes.

Tout là-haut, j'aperçois le cénotaphe en ballade. Il semble en panne. Il s'agissait de le transporter sur le coin de l'avenue, pour dégager d'abord l'Arc de Triomphe, ensuite pour que les troupes rendent en passant les honneurs aux Morts. Quand j'arrive tout en haut, l'opération heureusement s'exécute bien. Rarement le vide de cérémonies de ce genre m'est apparu. Après les femmes, qui hier soir sont venues s'écraser en pleurant contre ce plâtre doré, pendant deux heures ce matin, toutes les troupes de tous les pays du monde, ont défilé devant cette fausse dorure et l'ont salué. C'était un symbole sans doute.

Mais il est triste pour un pays comme la France, qui se vante d'être la grâce des temps modernes dont Paris serait l'Athènes d'avoir si piteusement honorée ses Morts. Á mes yeux il ne s'agit même pas des Morts pour leur patrie spécialement. Il s'agit de jeunes hommes qui sont morts, en pleine force, en plein espoir. Et l'on n'a rien dressé d'autre que cette énorme affaire dorée, où il n'y a pas la plus petite note émue, vraiment émue. Chacun sent cela inconsciemment, et malgré la campagne de presse déjà commencée, malgré le sentiment dont tant de malheureux et de malheureuses entourent déjà ce cénotaphe, les entrepreneurs n'arrivent pas à créer le mouvement d'opinion unanime par une réalisation en matière définitive. Ils voudraient s'élever à Courbevoie, place de la Défense, au lieu et place du Monument de Barrias. Le Monument de mon vieux maître Barrias est peut être en effet assez quelconque et démodé. Celui-là est encore plus quelconque et démodé. Effacez l'inscription "Aux Morts", et ce n'est plus rien du tout.

20 juillet [1919]

Visite de Marie-Thérèse[9] avec ses beaux-parents, M. et Mme La Cloche. M. La Cloche me demande de lui exécuter en marbre la Danseuse aux serpents. Après cette longue période d'attente et d'inquiétude, les commandes commencent à revenir.

24 [juillet 1919]

Visite aujourd'hui de Miss Kempf, de Miss Thomson et de deux de leurs amis dont Mme d'Aulnay, la mère de l'amie de Clemenceau. C'est une vieille dame qui a plus de 80 ans, mais pleine d'ardeur. Notre ami Gonse depuis que nous lui avons montré à lui et à Madame Bulteau, le cahier bleu[10], cherche à nous faire connaître des personnes fortunées susceptibles de commander cet ensemble. Cette visite de mon atelier a été des plus agréables. Mais je ne crois pas que ce soit par cette voie-là que nous arriverons à un résultat.

 

Après, visite d'un autre genre. Le Comité du Monument de Boulogne[11] pour voir l'esquisse définitive du Monument. Nous sommes d'accord sur tous les points et M. Lagneau, le maire, me demande de passer à la mairie mardi prochain pour signer le contrat.

25. 26. 27. 28 [juillet 1919]

Travail. Depuis que ces fêtes de la Victoire sont passées, travail enfin tranquille. Je dessine d'après Lucienne et la jeune Huguette pour les portes du Temple. J'ai trouvé à la salle de boxe de Mainguet un jeune boxeur avec lequel je me suis remis à la statue du Carpentier. J'en refais une grande terre. L'agrandissement mécanique est affreux. Comment Rodin a-t-il pu se contenter de semblable travail. Il était vraiment devenu bien peu consciencieux durant les dernières quinze années de sa vie.

29 [juillet 1919]

La gentille Mme Bulteau est revenue déjeuner. Quelle femme remarquablement intelligente. Être apprécié d'elle est un des plus grands encouragements.

 


[1]    Hôtel Dieu, monument aux morts.

[2]    À la place de : "classé", "catalogué", raturé.

[3]    Joseph Landowski.

[4]    Au lieu de : "ce matin", raturé.

[5]    . Au lieu de : "la grande idée, c'est la figure", raturé.

[6]    . Au lieu de : "boches", raturé.

[7]    . Suivi par : "On a souvent dit : c'est le mot qui triomphe", raturé.

[8]    . Au lieu de : "à entrer", raturé.

[9]    . Marie-Thérèse Nénot.

[10]  Cahier dans lequel P.L. a placé ses projets pour le Temple de l’Homme.

[11]  Monument aux morts